Fête de la musique : Concert de Ko Shin Moon
Plongez dans l’univers psychédélique de Ko Shin Moon pour célébrer la Fête de la musique et le début de l’été!
Pendant un concert inoubliable d’une heure, dansez au rythme des mélodies hybrides d’un autre monde du groupe né en 2017. À la croisée des chemins entre le SynthFolk et le disco spatial, venez nombreux célébrer la musique dans une ambiance électrique. En première partie, venez découvrir Jessy Lindsay, une chanteuse franco-ontarienne d’indie-pop qui fait des vagues à Ottawa.
Ko Shin Moon naît en 2017 de la rencontre fondatrice entre les instruments à cordes et les machines, quand à son retour d’Inde, Axel Moon rejoint Niko Shin les bras chargés d’instruments traditionnels glanés lors de ses différents périples. Il découvre que celui-ci a monté un studio riche de synthés analogiques et autres instruments électroniques vintage.
C’est de ce studio, refuge de leurs errances musicales couvert d’images d’ailleurs, que jaillissent les mélodies d’un monde hybride. S’y mêlent psychédélisme chatoyant, riffs électrifiés du bağlama et du oud, douceur du phin thaï et du sitar. Leur parole musicale se place dans la lignée de musiciens explorateurs comme Haruomi Hosono (le nom du groupe est d’ailleurs une référence à l’un de ses albums), David Byrne, Bill Laswell, Jah Wobble, Ryuichi Sakamoto, Clara Mondshine.
Leur territoire d’expression se dessine : une terre de contrastes où cohabitent exigence musicale et expérimentations stylistiques. Leur credo : éclectisme, cosmopolitisme, hybridité.
« Ko Shin Moon est le nouveau groupe parisien à suivre de près. » LE NOUVEL OBS
“Les fans de Khruangbin seront ravis. Dépaysant !” ROLLING STONE
“Le confinement n’y changera rien. Dans leur quête obsédante pour faire muter le patrimoine ancestral des musiques orientales, le duo Ko Shin Moon n’a toujours pas cédé aux frontières fermées et aux sorties abandonnées” FIP
“Le duo Ko Shin Moon est une sono mondiale à lui tout seul” SOURDOREILLE
« Giorgio Moroder jammant sur un synthé Moog Modular avec Thylacine et Acid Arab sur un motif de Ravi Shankar : (…) c’est le ré sumé du dé but de carrière de Ko Shin Moon. » GONZAÏ